ChatGPT / Proust / Sonnet shakespearien : On a summer's day, my heart was filled with light, - A lady fair with golfing sticks in hand, - Young Miss Simonet, with grace so grand

OpenAI ChatGPT - Réécris à la façon d'un sonnet de Shakespeare ce texte de Marcel Proust

168. À partir de cet après-midi-là, moi, qui les jours précédents avais surtout pensé à la grande, ce fut celle aux clubs de golf, présumée être Mlle Simonet, qui recommença à me préoccuper. Au milieu des autres, elle s'arrêtait souvent, forçant ses amies qui semblaient la respecter beaucoup à interrompre aussi leur marche. C'est ainsi, faisant halte, les yeux brillants sous son « polo » que je la revois encore maintenant, silhouettée sur l'écran que lui fait, au fond, la mer, et séparée de moi par un espace transparent et azuré, le temps écoulé depuis lors, première image, toute mince dans mon souvenir, désirée, poursuivie, puis oubliée, puis retrouvée, d'un visage que j'ai souvent depuis projeté dans le passé pour pouvoir me dire d'une jeune fille qui était dans ma chambre : « C'est elle ! »

*

ChatGPT : 

On a summer's day, my heart was filled with light,
A lady fair with golfing sticks in hand,
Young Miss Simonet, with grace so grand,
Her form, her gaze, they set my heart alight.

Her friends all followed, as she did take flight,
Pausing, her eyes shining bright, so grand,
Her beauty shone, silhouetted on the sand,
And I, so far, yet close in love's sight.

Through years and space, that vision I recall,
Desired, pursued, then lost, and found again,
Her image, though fleeting, I enthral.

And now, within my memory she remains,
A youthful face, a love that will not fall,
The first and fairest, my heart's sweet refrain.

*

Réécris en langue française

ChatGPT : 

Le jour d'été, mon coeur était illuminé,
Une dame belle avec des bâtons de golf,
Miss Simonet jeune, avec une grâce si grande,
Sa forme, son regard, ils ont mis mon coeur en feu.

Ses amis la suivaient, tandis qu'elle prenait son vol,
S'arrêtant, ses yeux brillants, si grand,
Sa beauté brillait, silhouettée sur le sable,
Et moi, si loin, pourtant proche dans le regard de l'amour.

À travers les années et l'espace, je me rappelle cette vision,
Désiré, poursuivi, puis perdu, et retrouvé,
Son image, bien que fugace, je l'embellis.

Et maintenant, dans ma mémoire, elle reste,
Un visage juvénile, un amour qui ne tombera pas,
Le premier et le plus beau, le doux refrain de mon coeur.