184 | 3. Le Côté de Guermantes | Le pépiement matinal

185 Dans la maison que nous étions venus habiter

186 Malgré l'air de morgue de leur maître d'hôtel

187 Mon père avait au ministère un ami

188 Cependant mes regards furent détournés de la baignoire de la princesse de Guermantes

189 Au moment où cette seconde pièce commença

190 Maintenant tous les matins, bien avant l'heure où elle sortait

191 Je n'aurais pas senti moi-même que Mme de Guermantes était excédée

192 Saint-Loup arriva, remuant dans tous les sens

193 Ah ! Robert, qu'on est bien chez vous

194 Si je voulais sortir ou rentrer sans prendre l'ascenseur ni être vu

195 Mais un peu plus tard j'allai souvent voir le régiment

196 Et précisément à l'hôtel où j'avais rendez-vous avec Saint-Loup

197 Je me plaisais surtout à causer avec ce jeune homme

198 Ces théories de Saint-Loup me rendaient heureux

199 Je n'arrivais pas tous les soirs au restaurant de Saint-Loup

200 Tous les amis de Robert me dirent

201 Un matin, Saint-Loup m'avoua qu'il avait écrit à ma grand-mère

202 À ma demande d'aller voir les Elstir de Mme de Guermantes

203 Mon père nous avait raconté qu'il savait maintenant

204 Ayant quitté Paris où, malgré le printemps commençant

205 J'aurais aimé que nous puissions, toi et moi

206 À ce moment on vint dire à Aimé qu'un monsieur le priait

207 Un numéro du programme me fut extrêmement pénible. Une jeune femme

208 À ce moment, je vis Saint-Loup lever son bras verticalement

209 Puis le talent n'est pas un appendice postiche

210 Mon Dieu, les ministres, mon cher Monsieur

211 Bonjour Alix, dit Mme de Villeparisis

212 Le visiteur importun entra

213 L'excellent écrivain G*** entra

214 Un regard du baron de Guermantes

215 Bloch s'était montré enchanté de l'idée de connaître M. de Norpois

216 J'ai entendu que vous refusiez l'amie de Robert, dit Mme de Guermantes

217 Mais si, c'est très mystérieux, l'amour

218 M. de Norpois leva les yeux au ciel

219 Je vous trouve tous aussi assommants les uns que les autres avec cette affaire

220 Bloch ne put arriver à le faire parler de la question de la culpabilité de Dreyfus

221 Comme Bloch s'approchait d'elle pour lui dire au revoir

222 Ils causèrent un instant ensemble et sans doute de moi

223 C'est ainsi que le prince de Faffenheim avait été amené

224 J'ai raconté bien auparavant ma stupéfaction

225 Qui sait, peut-être en voyant que j'agis ainsi

226 M. de Charlus s'interrompit pour me poser des questions sur Bloch

227 Pour ma part, à peine rentré à la maison

228 Ta grand-mère pourrait peut-être aller s'asseoir

229 La marquise reprit un ton plus doux

230 | 3.2.1 Le Côté de Guermantes II - 1 | Nous retraversâmes l'avenue Gabriel

231 il semblait, de même que la méchanceté aime à exagérer

232 Dans un de ces moments où, selon l'expression populaire

233 Le sixième jour, Maman, pour obéir aux prières de grand-mère

234 Quelques jours plus tard, comme je dormais, ma mère vint m'appeler

235 | 3.2.2 Le Côté de Guermantes II - 2 | Depuis plusieurs nuits

236 Depuis le matin on avait allumé le nouveau calorifère

237 Tout cela est tiré du trésor social. Mais justement le milieu d'Albertine

238 Si vraiment vous permettez que je vous embrasse

239 Albertine m'avait tant retardé

240 Cependant je dois dire qu'une surprise d'un genre opposé

241 Albertine me parlait peu, car elle sentait que j'étais préoccupé

242 J'ai dit (et précisément c'était, à Balbec, Robert de Saint-Loup

243 Car, le soir du brouillard, les nobles du café

244 Cependant je regardais Robert et je songeais à ceci

245 La duchesse ne m'ayant pas parlé de son mari

246 Comme le duc se gênait fort peu avec ses invités

247 Ensuite je demandai au duc de me présenter

248 Le même génie de la famille présentait à Mme de Guermantes

249 Un certain nombre de réalités bonnes ou mauvaises

250 Quand le salon devenait trop plein

251 Ainsi grâce, une fois à Taquin le Superbe

252 M. de Guermantes, à cette époque de sa vie

253 Cependant, en se mettant à table, la princesse de Parme

254 À tant de raisons de déployer son originalité locale, les écrivains préférés

255 Malgré l'extrême fatigue qu'elle commençait à éprouver, la princesse était ravie

256 Puisque nous parlions de votre famille, Oriane, dit la princesse

257 La commode sur laquelle la plante est posée

258 Après avoir gravi les hauteurs inaccessibles du nom de Guermantes

259 Dans les familles bourgeoises on voit parfois naître des jalousies

260 À plusieurs reprises déjà j'avais voulu me retirer

261 Pour toutes ces raisons, les causeries avec la duchesse

262 Si vous voulez me dire, monsieur, qui m'a perfidement calomnié

263 Mais enfin je ne puis vous donner d'éclaircissements

264 Ce fut le duc seul qui me reçut dans sa bibliothèque

265 Je n'avais pas vu Swann depuis très longtemps

266 S'il y avait tout le temps des querelles