267 | 4. Sodome et Gomorrhe | On sait que bien avant d'aller ce jour-là
268 J'avais perdu de vue le bourdon
269 Dès le début de cette scène une révolution, pour mes yeux dessillés
270 Pour les uns, ceux qui ont eu l'enfance la plus timide
271 Au reste j'exagérais beaucoup alors, devant cette révélation première
272 | 4.2.1 Sodome et Gomorrhe II - 1 | Comme je n'étais pas pressé d'arriver
273 Je fus à ce moment arrêté par un homme assez vulgaire
274 La distance qui me séparait de l'entrée des jardins
275 Tellement distrait dans le monde que je n'appris
276 On ne cessa de trouver à ce salut toutes les qualités
277 On vit passer une duchesse fort noire
278 J'avais grande envie de savoir ce qui s'était exactement passé entre le prince et Swann
279 J'allais traverser le fumoir et parler à Swann
280 Comme ces deux jeunes gens ont un air étrange
282 Quand Swann fut parti, je retournai dans le grand salon
283 Je revois toute cette sortie
284 Ces pittoresques études de géographie linguistique
285 Je fis semblant d'être en train d'écrire
286 Certes le petit clan des Verdurin avait actuellement un intérêt autrement vivant
287 | Les Intermittences du coeur | Ma seconde arrivée à Balbec
288 Quant à l'oubli de ma grand-mère où j'avais vécu jusqu'ici
289 Sur la carte qu'on me remit, Mme de Cambremer
290 Maman qui avait rencontré Albertine
291 | 4.2.2 Sodome et Gomorrhe II - 2 | Dans ma crainte que le plaisir trouvé
292 Avec l'orgueil démocratique qui le caractérisait
293 Quelques jours après, à Balbec, comme nous étions dans la salle de danse du casino
294 Le Sidaner était l'artiste élu par l'ami des Cambremer
295 Oh ! elles s'envolent, s'écria Albertine
296 Sur un signe de sa belle-fille, Mme de Cambremer
297 Comme si Albertine avait dû avoir de la peine à croire
298 Non seulement les jeunes filles étaient peu nombreuses
299 je montais au contraire dans la chambre de deux soeurs
300 Nous étions, Albertine et moi, devant la station Balbec
301 Tout en causant avec lui, mais brièvement
302 Pendant les premières secondes où le petit groupe se fut engouffré dans le wagon
303 Cottard disait beaucoup plus souvent
304 C'est en silence et sans plaisanteries de mauvais goût
305 Oubliant qu'elle tenait à son coin, Mme Sherbatoff
306 Le sculpteur fut très étonné d'apprendre que les Verdurin
307 Je venais de transmettre à Mme Verdurin le message
309 Un philosophe qui n'était pas assez moderne pour elle, Leibniz
310 Saniette voyait avec joie la conversation prendre un tour si animé
311 Vous comprenez que je ne regrette pas Elstir
312 Je ne saurais dire aujourd'hui comment Mme Verdurin
313 Est-ce que vous comptez rester longtemps sur la côte
314 Des rafraîchissements étaient servis
315 On distinguait à peine la mer
316 | 4.2.3 Sodome et Gomorrhe II - 3 | Je tombais de sommeil
317 Quand j'avais croisé M. de Charlus
318 Arrivée au bas de la route de la corniche, l'auto monta
319 Il peut sembler que mon amour pour les féeriques voyages en chemin de fer
320 Quand Albertine trouvait plus sage de rester à Saint-Jean-de-la-Haise pour peindre
321 Après le dîner l'auto ramenait Albertine
322 Pour revenir au mécanicien
323 Il faisait déjà nuit quand nous montions dans l'omnibus
324 Albertine ne pouvait le gêner
325 Quand M. de Charlus ne parlait pas de son admiration pour la beauté de Morel
326 Quand, pour une raison quelconque, on introduit
327 Si M. de Charlus en jetant sur le papier cette lettre
328 Cottard arriva enfin quoique mis très en retard
329 Cependant le soir où Morel devait être absent était arrivé
330 Les relations des Cambremer ne tardèrent pas
331 Le jour du dîner venu, on attendait dans le grand salon de Féterne
332 Il suffit de la sorte qu'accidentellement
333 | 4.2.4 Sodome et Gomorrhe II - 4 | Je n'attendais qu'une occasion pour la rupture