1. Du côté de chez Swann : 001 - 103
2. A l'ombre des jeunes filles en fleurs : 104 - 183
3. Le côté de Guermantes : 184 - 266
4. Sodome et Gomorrhe : 267 - 335
5. La Prisonnière : 336 - 391
6. Albertine disparue : 392 - 433
7. Le Temps retrouvé : 434 - 487
Série : Le roman d'Albertine
(Les occurrences du personnage d'Albertine)
Autres textes :
Sur la lecture | À propos du « style » de Flaubert | Tolstoï
Livre audio :
Marcel Proust lu par Dussollier, Wilson, Podalydès, Gallienne, Renucci, Lonsdale (128h)
Ressources, musiques, films, livres et études
Nouveautés :
- René Girard : Proust et Dostoïevski - Denis de Rougemont : On en vient à désirer que l'être aimé soit infidèle, pour qu'on puisse de nouveau le poursuivre et ressentir l'amour en soi. - Marcel Proust : La vie de l'amour de Swann, la fidélité de sa jalousie, étaient faites de la mort, de l'infidélité, d'innombrables désirs, d'innombrables doutes, qui avaient tous Odette pour objet
- Ode saphique, au buisson de tes lèvres - Anna Lucia Richter, Johannes Brahms - Marcel Proust : Albertine amie de Mlle Vinteuil et de son amie, pratiquante professionnelle du saphisme, c'était une terra incognita terrible où je venais d'atterrir... Cette fin de journée lointaine à Montjouvain, caché derrière un buisson
- Noblesse - Roland Barthes : un esprit de générosité, une façon générale d'accueil, d'hospitalité - Marcel Proust : la générosité qu'ont les belles choses et les nobles gens à accroître indéfiniment leurs dons
- Chez moi on mène la belle vie, On s'amuse à son gré - Marine Chagnon, Johann Strauss - Marcel Proust : cette musique que nous entendions - arrangements de valses, d'opérettes allemandes, de chansons de cafés-concerts - je leur trouvais bien, à ces airs, quelque chose de cruel ; pour eux le plaisir physique existe seul
- George Steiner - Tolstoï, Dostoïevski, Proust : entre un livre très gros et un livre mince, la différence est presque d'ordre métaphysique. La vie n'est pas un livre mince, elle est terriblement longue et touffue et dense
- Tu ne dois pas enfermer la nuit en toi - Anna Lucia Richter, Gustav Mahler - Marcel Proust : Ah ! quand la nuit finirait-elle ?
- Fuis ! Tu ne sais pas qui je suis vraiment - Anna Lucia Richter, Robert Schumann - Marcel Proust : pour Albertine c'était une question d'essence : en son fond qu'était-elle ?
- Dostoïevski : la beauté sauvera le monde | La beauté, c'est une chose terrible et affreuse... Dieu n'a créé que des énigmes... Par exemple la beauté | Marcel Proust : cette beauté nouvelle : la femme de Dostoïevski
- Marcel Proust / Terrence Malick : la femme de Dostoïevski, avec son visage mystérieux dont la beauté avenante se change brusquement en une insolence terrible, n'est-ce pas toujours la même
- Berceuse - Anna Lucia Richter, Johannes Brahms - Marcel Proust : pour nous bercer d'un beau songe ou nous consoler d'un gros chagrin
- Solitude dans les champs - Anna Lucia Richter, Johannes Brahms - Marcel Proust : au milieu des blés, dans les champs, en communication avec mon coeur
- Au cimetière - Anna Lucia Richter, Johannes Brahms - Marcel Proust
- Richard Wagner - Waltraud Meier, Isolde - Marcel Proust : tout ce qu'a de réel l'oeuvre de Wagner, ces thèmes insistants et fugaces qui ne s'éloignent que pour revenir... On dirait la reprise moins d'un motif que d'une névralgie
- Champagne - Marine Chagnon, Johann Strauss - Marcel Proust : Les soirs où nous avions emporté du champagne dans les bois de Chantepie, la voix provocante et changée
- D'amour éternel - Marine Chagnon, Johannes Brahms - Marcel Proust : Mais à l'époque où j'aimais Gilberte, je croyais encore que l'Amour existait réellement en dehors de nous
- D'amour éternel - Laura Hemingway, Johannes Brahms - Marcel Proust : Tels nos regards furent un instant face à face, ignorant chacun ce que le continent céleste qui était devant lui contenait de promesses et de menaces pour l'avenir
- D'amour éternel - Anna Lucia Richter, Johannes Brahms - Marcel Proust : les promesses d'amour éternel
- Amour fidèle - Anna Lucia Richter, Johannes Brahms, Marcel Proust
- Terrence Malick, Proust et Dostoïevski. René Girard : La vérité du désir est la mort mais la mort n'est pas la vérité de l'oeuvre romanesque. Toutes les conclusions romanesques sont des commencements. Toutes les conclusions romanesques sont des Temps retrouvé
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